jeudi 5 novembre 2009

Une jeune mère qui nous fait part de sa vie après son congé de matenrité

MAMAN :




Mon état de santé ne me permet pas de reprendre le travail après mon congé de maternité. Que va-t-il se passer ?

Les règles classiques du congé de maladie s’appliquent dans le cas où, après votre congé de maternité, un médecin vous déclare inapte au travail.

Quelle est la différence entre des pauses d’allaitement et un congé d’allaitement ?

Les pauses d’allaitement peuvent vous permettre d’arriver une heure plus tard ou de partir une heure plus tôt. Pendant une période de 9 mois au maximum après votre congé postnatal, votre pause d’une heure sera rémunérée par la mutuelle à hauteur de 82% du salaire brut. Vous devez les demander à votre employeur 2 mois à l’avance… pensez-y à temps avant de rentrer de congé de maternité. Ces indemnités sont soumises au précompte professionnel au taux de 11,11% (sans réduction). Un congé d’allaitement n’est pas légalement prévu. Toutefois, dans certains secteurs, des conventions collectives ont octroyé cette possibilité. Renseignez vous auprès de votre section régionale.

ET PAPA :




Mon compagnon peut-il prétendre à un congé de paternité ?

Oui. Le congé de paternité est de 10 jours (à prendre dans les 4 mois de l’accouchement) : 3 jours sont payés par l’employeur et 7 jours sont par la mutuelle à hauteur de 82% du salaire plafonné à €96,29 par jour. Les indemnités de «paternité» payées ou attribuées en vertu de la loi sont soumises au précompte professionnel au taux de 11,11% (sans réduction).

Si la mère décède ou est hospitalisée après l’accouchement, le père peut prétendre au congé et à l’indemnité de maternité à la place de la mère.


Cette article va expliquer les risques pour l'enfant s'il y a lorsque la femme enceinte pratique un métier à risque, et les demandes que peuvent ces dernières à leurs employeurs...

Les Femmes Enceintes et les métiers à risque!


Dans la mesure où la mère ne met pas sa vie en danger, il n'y a aucune raison pour que l'enfant soit exposé à des risques particuliers. Sauf, bien sûr, dans le cas où la future maman pratique un métier dangereux, est sportive de haut niveau ou cascadeuse... La grossesse est finalement davantage une période de fragilité pour la mère que pour l'enfant. Et il convient de ne pas trop se fatiguer, physiquement ou nerveusement. Par Sandra Mignot.

Un environnement professionnel protecteur
"Dans la mesure où la grossesse se déroule normalement, aucun métier n'est vraiment contre-indiqué", résume le docteur Georges Soudré, gynécologue-obstétricien. Là où il pourrait y avoir des risques, la législation (dans la mesure où elle est respectée par l'employeur) a si bien organisé la protection des personnes, que l'enfant dans le ventre de sa mère n'est pas plus exposé. C'est le cas pour les personnels ou médecins qui travaillent dans le secteur de la radiologie ou qui manipulent des produits chimio-thérapeutiques. Et là où la mère ne court pas de risques, en général, l'enfant est protégé. Ce qui ne doit pas empêcher une femme de demander à changer de poste, si sa position de travail est particulièrement pénible. Pour cela, l'employeur demandera généralement l'avis du médecin du travail.

Des conditions de travail à surveiller
En effet, le principal problème rencontré au travail est plutôt celui de la fatigue. "La femme enceinte a besoin de dormir environ une heure de plus par jour", souligne Georges Soudré. Si elle occupe un emploi particulièrement fatigant physiquement ou même nerveusement, elle risque de ne pas tenir le choc. Dans certaines professions, les futures mamans peuvent, si leur convention collective l'autorise, diminuer leur temps de travail. Ailleurs, on préférera prendre un congé précoce, pour les femmes qui travaillent de nuit, par exemple. En outre, le dos de la femme enceinte est particulièrement fragilisé et la station debout est parfois à l'origine de sciatiques : serveuses et vendeuses sont particulièrement exposées à ce risque... Enfin, en cas de problème de santé ou de fatigue, le docteur Soudré relève : " 9/10ème des employeurs n'aménagent pas le poste de travail. Ils préfèrent recourir à un congé maternité plus précoce et prendre un intérimaire en remplacement." Question de gestion du personnel sans doute...


Source: http://www.magicmaman.com/,existe-t-il-des-metiers-a-risque-pour-la-femme-enceinte,365,5663.asp

des questions qui peuvent nous tracassé



jeune maman :

Bonjour,
Je vais recommencer à travailler quand mon fils aura 6,5 mois. On me propose un travail qui m'intéresse beaucoup, mais implique plusieurs jours de voyage à l'étranger par mois (+/- un voyage de 2-3 jours toutes les 2 semaines). Comment le bébé vivrait-il cela ? Il y a des possibilités de garde le soir par mon mari, ou, si mon mari travaille trop tard, par sa marraine ou sa grand-mère. Qu'en pensez-vous ?



une experte

Bonjour,
Soyez assurée que votre bébé vivra quelque situation que ce soit, de façon sereine, si vous-même la vivez sereinement. Ce dont peut souffrir un bébé, c'est seulement de l'inquiétude de ses parents, et seulement de cela. L'organisation de vie que vous choisirez sera bonne si elle est vécue par vous et votre mari avec bonheur. Il est bien meilleur pour un bébé de sentir sa maman épanouie et fière de ses activités lorsqu'il la retrouve, que de la sentir frustrée, nerveuse, même constamment à ses côtés. Reste l'organisation matérielle à mettre au point le plus judicieusement possible, pour vous permettre de profiter pleinement de votre bébé à vos retours de déplacement.
Attention de ne pas tomber dans le piège de la culpabilisation : je travaille, je ne vois pas beaucoup mon bébé donc, je compense en le couvrant de cadeaux ou en passant quelques caprices lorsque je rentre! Tout le bénéfice de votre travail serait perdu.



source: http://www.aufeminin.com/__e4965-Travail-de-la-maman.html

Femme enceinte? travail de nuit? Quels sont vos droits?

  • La question de la femme enceinte travaillant de nuit au niveau juridique, est souvent peu abordé, Ce cours article va expliquer quels sont les droits des mères, ou futur mères dans ce genre de cas!


Les Femmes enceintes et le travail de nuit!


Définition du travail de nuit

Tout travail entre 21 heures et 6 heures est considéré comme travail de nuit. Certains aménagements sont possibles par des accords collectifs étendus ou des accords d'entreprise.



Reclassement temporaire

Si vous êtes enceinte et si vous occupez un poste de travail de nuit, l'employeur est tenu de vous proposer un reclassement temporaire.

A votre demande, ou sur indication écrite du médecin du travail, vous pouvez être affecté à un poste de jour, pendant la durée de la grossesse et pendant la durée du congé légal post-natal.



Garantie de rémunération

En cas d'impossibilité de reclassement, le contrat de travail est suspendu et vous bénéficiez d'une garantie de rémunération.

Cette rémunération est composée :

  • d'allocations journalières versées par votre caisse primaire d'assurance maladie (CPAM)

  • d'un complément à la charge de l'employeur.

Cette allocation versée par la CPAM n'est pas cumulable avec :

  • l'indemnisation des congés maladie, maternité ou accidents de travail,

  • le complément d'allocation d'éducation spéciale accordée pour une cessation d'activité,

  • l'allocation de présence parentale,

  • l'allocation parentale d'éducation.

Source: http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F2691.xhtml

jeudi 22 octobre 2009

En savoir plus sur le congé de maternité.


La durée du congé maternité dépend de la situation de famille et du nombre d'enfants que la future maman attend.

Si la maman attend un enfant

  • Le congé de maternité est de 16 semaines :
    • 6 semaines avant la date présumée de l'accouchement
    • 10 semaines après l'accouchement

Le congé de maternité est de 26 semaines si la maman a déjà mis au monde 2 enfants nés viables ou si le foyer assume la charge de 2 enfants ou plus, et attend son troisième enfant
  • 8 semaines avant l'accouchement
  • 18 semaines après l'accouchement

Si la maman attend des jumeaux

  • Le congé maternité est de 34 semaines
    • 12 semaines avant l'accouchement
    • 22 semaines après l'accouchement

Si la maman attend des triplés

  • Le congé maternité dure 46 semaines
    • 24 semaines avant l'accouchement
    • 22 semaines après l'accouchement

Durant la durée du congé de maternité, la future maman n'est pas tenue de respecter les horaires de sortie figurant sur un arrêt de travail habituel.
Si l'enfant est hospitalisé au delà de la 6ème semaine après l'accouchement, la maman peut reprendre son travail et utiliser le reliquat de congé post natal à partir du jour où l'enfant quitte l'hopital.

source:
http://sante-medecine.commentcamarche.net/contents/grossesse/01_les-demarches-administratives-de-la-grossesse.php3#si-la-maman-attend-un-enfant

jeudi 15 octobre 2009

cette article nous montre les condition de travaille des meres au travail

L'employeur est obligé de familiariser les femmes enceintes et allaitant et les femmes jusqu'à la fin du neuvième mois après l'accouchement avec les risques pour la santé et l'influence possible sur la grossesse ou l'allaitement et prendre les mesures nécessaires pour la diminution ou la suppression de ces risques. Il doit aussi assurer un endroit de repos aux femmes enceintes et allaitant

Une femme enceinte ne peut exercer des travaux qui d'après une expertise médicale présentent un risque pour sa grossesse pour des raisons dues à sa condition physique. Ceci est valable également pour les femmes allaitant et les mères jusqu'à la fin du neuvième mois après l'accouchement

Les femmes ne peuvent pas exercer des travaux physiquement disproportionnés ou qui nuisent à leur organisme, notamment des travaux qui présentent un danger pour la vocation maternelle. La liste de ces travaux cités dans l'ordonnance du Ministère de la santé No 288/2003 du Code, qui précise les travaux et lieux de travail qui sont interdits aux femmes allaitant, enceintes et aux mères jusqu'à la fin du neuvième mois après l'accouchement.

Adaptation du temps de travail :

Dans la mise en place des équipes, l'employeur doit prendre en compte les besoins des femmes ayant à charge des enfants
L'employeur n'a pas le droit d'imposer des heures supplémentaires aux femmes enceintes ou ayant à charge des enfants de moins d'un an

Si une femme enceinte demande un temps de travail réduit ou une autre adaptation du temps de travail hebdomadaire, l'employeur est obligé de donner suite à cette demande, sauf si des raisons graves d'organisation de l'entreprise l'empêchent ; l'employeur agit en coopération avec l'organisation syndicale compétente

Pauses de l'allaitement :

L'employeur doit accorder à une femme allaitant des pauses supplémentaires d'allaitement en plus des pauses régulières.

Une femme qui travaille pendant le temps de travail hebdomadaire fixé a droit à deux pauses de 30 minutes pour chaque enfant jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge d'1 an et une pause de 30 minutes pendant les trois mois suivants. Si la femme travaille à temps réduit mais au moins pendant la moitié du temps de travail hebdomadaire fixé, elle a droit à une pause de 30 minutes pour chaque enfant jusqu'à la fin du sixième mois.

Les pauses supplémentaires d'allaitement sont comptées dans le temps de travail et la femme a le droit à une compensation de salaire ) hauteur du montant du salaire mensuel moyen

Transfert dans un autre travail :

Si une femme enceinte (valable également pour les mères jusqu'à la fin du neuvième mois après l'accouchement et les femmes allaitant) exerce un travail qui, d'après un avis médical, est interdit aux femmes enceintes ou présente un danger pour sa grossesse, l'employeur est obligé de la tranférer temporairement dans un autre travail convenable et qui lui assure le même salaire que son travail actuel. Si une femme enceinte (valable également pour les mères jusqu'à la fin du neuvième mois après l'accouchement et les femmes allaitant) qui travaille la nuit demande à être transférée à un travail de jour, l'employeur est obligé de donner suite à cette demande

Si le travail dans lequel la femme a été tranférée, le salaire est inférieur au salaire de son travail précédent, elle a droit à une indemnité compensatrice d'après la réglementation de l'assurance maladie

Voyages d'affaires et mutation

Les femmes enceintes ne peuvent pas être envoyées en voyage d'affaire en dehors du département de leur lieu de travail ou de leur domicile sans leur l'approbation ; elles ne peuvent être mutées que sur leur propre demande

Rupture de la relation de travail :

L'employeur a le droit de rompre le contrat de travail avec une femme enceinte ou une personne en congé parental uniquement dans des cas exceptionnels , c'est-à-dire :

  1. l'entreprise ou une partie de l'entreprise de l'employeur ferme ;
  2. l'entreprise ou une partie de l'entreprise de l'employeur change de siège ;
  3. l'employé a été condamné pour un acte délictueux prémédité à une peine privative de liberté de plus d'un an de prison ferme (ou pour un délit commis pendant la réalisation des travaux confiés à une peine privative de liberté d'au moins six mois de prison ferme)
  4. si l'employé a violé gravement la discipline de travail.
L'employeur ne peut pas annuler immédiatement un contrat de travail avec une femme enceinte ni avec un employé ayant à charge un enfant de moins de trois ans.

source : http://www.czech.cz/fr/prace-studium/chci-pracovat/prava-a-povinnosti-pracovnika-a-zamestnavatele/zakonik-prace/zvlastni-upravy-pracovnich-podminek/pracovni-podminky-tehotnych-zen-zen-ktere-koji-a-matek-do-konce-devateho-mesice-po-porodu

cette article nous montre comment marche le congé maternité et pour qui il est adapté.

Votre congé maternité

Depuis sa création en 1909, le congé maternité est un droit – et non une obligation – dont beaucoup de femmes n’hésitent pas à profiter !

Congé maternité : pour qui ?

Peu importe l’ancienneté dans l’entreprise, toute salariée enceinte peut bénéficier du congé maternité. A condition toutefois d’avoir averti son employeur de la grossesse, et de la période d’absence (lire l'article sur les droits et garanties de la femme enceinte).

Et pourquoi s’en priver ? Etant indispensable pour la santé de la mère et de l’enfant, le congé maternité est partiellement pris en charge par l’assurance maternité. Sur 16 semaines indemnisées, la future maman peut toutefois choisir de ne s’arrêter que 8 semaines.

Congé maternité : davantage de liberté

Depuis son aménagement par une loi de février 2007, le congé maternité est assoupli…à défaut d’être allongé ! En autorisant les femmes enceintes à moduler la répartition de leurs semaines de congé maternité, la loi offre « plus de liberté aux femmes dont la grossesse se déroule bien et leur permet de passer davantage de temps avec leur bébé ».

Jusqu’à présent, le congé légal était fixé à six semaines avant et dix semaines après la naissance. Aujourd’hui, les futures mamans peuvent reporter leur départ afin de profiter plus longuement du nouveau-né après l’accouchement. Unique limite : la femme enceinte est obligée de s’arrêter trois semaines au moins avant le jour J.

La loi ne fait toutefois pas l’unanimité…Certains syndicats craignent en effet que les employeurs fassent pression sur les futures mamans afin qu’elles retardent au maximum leur départ. Mais ne vous affolez pas : l’assouplissement ne peut pas être imposé. Seule une demande expresse de la femme, assortie d’un certificat médical attestant d’un bon état de santé, permet de prolonger l’activité.

Congé maternité trop court ?

Selon une étude du ministère de la santé (Drees) publiée en octobre 2006, 84 % des mères considèrent que le congé maternité devrait « durer plus longtemps » et 70 % souhaiteraient s’arrêter pendant un an à l’arrivée de Bébé…

En Europe, une directive oblige les Etats membres à garantir un minimum de 14 semaines de congé maternité. D’un pays à l’autre, la durée est très variable. Les Françaises ne sont pas les plus mal loties puisque les Allemandes et les Slovènes ne jouissent que du minimum, alors que les Belges disposent de 15 semaines. Les Suédoises et les Norvégiennes ont toutefois de quoi faire des jalouses… Elles bénéficient respectivement de 16 mois et de 52 semaines de congé rémunéré !

source : http://www.infobebes.com/bebe/Droits/Conges-particuliers/Le-conge-de-maternite



mardi 13 octobre 2009

Maternité , Paternité et travail .



LA MATERNITE

La protection de la maternité des femmes salariées est un élément essentiel de l'égalité des chances. Son objectif est de leur permettre de combiner efficacement leurs fonctions productive et reproductive, ainsi que d’éviter que leur fonction reproductive ne se traduise par des inégalités de traitement dans l’emploi.
Il existe des éléments de protection de la maternité qui figurent dans les normes comme:

  • Le congé de la maternité -> La mère à le droit de bénéficier d'une période de repose au moment de l'accouchement.

  • Les prestations en espèces et des prestations médicales -> Ce droit est valable lors de la période de l'absence de la maternité.

  • La protection de la santé de la mère et de l’enfant pendant la période de grossesse -> Le droit pour la mère d'allaiter son enfant après sa réintégration au travail.

  • La protection de l’emploi et la non-discrimination -> La garantie pour les femmes de la sécurité de l’emploi et le droit à retrouver leur emploi au terme du congé, qu’il s’agisse du même poste ou d’un poste équivalent en terme de salaire.
Les réglementations nationales visant à protéger la santé de la mère et de l'enfant et le droit des femmes à conserver leur emploi figurent au premier plan de la législation de presque tous les Etats Membres de l'Organisation Internationale du Travail.


LA PATERNITE

Le congé de paternité est vu comme une importante harmonisation de la vie professionnelle et familiale pour les hommes ainsi que d’une aide pour les femmes. Le congé de paternité est un congé de courte durée auquel le père a le droit après la naissance d’un enfant. Les dispositions concernant le congé de paternité deviennent de plus en plus populaires partout dans le monde et traduisent une évolution dans la perception de la paternité, du rôle parental et la nécessité pour les hommes et les femmes de réconcilier la vie professionnelle et familiale.